La Mandalorienne se glissa dans le lit après avec retiré son pantalon noir et son débardeur. En sous-vêtements, elle se nicha aux creux des bras d'Osymandias.
Fermant les yeux, elle désirait s'évader du monde. Se demandant ce que pouvait cacher l'Independance, la Mandalorienne imaginait une véritable caverne d'Ali-baba dans les entrailles de ce vaisseaux. Plus grand que ce que l'on pouvait penser.

***

Plus tard, alors que le Capitaine respirait très fort, suggérant le fait qu'il dorme, la Mandalorienne se réveilla subitement et se redressa, en âge et essoufflée. Elle plissa avec force ses yeux et des sourcils, passant une main sur son front pour retirer la sueur.

- Shabs... Lança-t-elle d'une voix basse.

Elle n'avait pas réveillé le Capitaine, elle s'en serait voulue de l'avoir extirpé de ses rêves au beau milieu de la nuit. Son cauchemar avait été épouvantable. Des rêves mélangés à ses visions. La guerrière s'était vue tuer un à un les membres de son propre clan avec un sabre laser blanc. Mais au moment où elle allait porter le coup fatal à Carsön, son rêve s'arrêta. Lentement, elle s'extirpa du lit pour aller se passer de l'eau sur le visage.

Quelques minutes après, la Mandalorienne décida de quitta les quartiers d'Osymandias après avoir récupéré le manteau de celui.
La voilà, déambulant lentement dans le vaisseau vetûe du manteau d'Osymandias, observant chaque parcelle de couloir afin d'essayer de comprendre le fonctionnement de l'Indépendance.
De temps à autres, elle croisait un membre de l'équipage, lui assignant un signe de tête. Lorsqu'elle était seule, Reyx glissait un regard ici et là pour trouver un genre de salle cachée. La guerrière savait qu'Osy avait bardé le vaisseau par des mécanismes, elle l'avait vu avec la salle de bain.
Désirant ne pas être scruté dans sa curiosité, elle longeait les murs dans les zones d'ombres.

À un croisement, Silix glissa sa main dans la poche du manteau et sortit un datapad d'Osymandias. S'appuyant contre un mur, la mando à moitié nue pianota dessus, cherchant à trouver un accès secret. En vain, l'appareil semblait répondre avec un scanner épidermique. Elle rangea le micro-ordinateur et marcha, mains dans les poches.

(Tu me ferais pas un truc du genre une porte s'ouvre et tout? Et puis Osy la rejoint dedans plus tard? 8D)

Osymandias ne dit rien, il avait été surpris par le mouvement de la mandalorienne, non pas parce qu'elle avait refusée ses avances. Ceci était naturel et cela ne le dérangeait nullement au contraire, ça ne faisait que la rendre plus désirable mais c'était surtout la violence du mouvement qui l'avait surpris.

Osymandias s'éloigna de la guerrière et alla verrouiller la porte afin que personne ne les dérange. Il revint vers elle, fouilla une poche de son manteau et en tira un datapad. Il l'utilisa pour allumer la lumière de la pièce puis il s'assit sur un canapé, et resta immobiles quelques secondes. A chaque instants son regard fut attiré par le trou noir. Il utilisa à nouveau son datapad mais cette fois un volet tomba sur la baie vitrée masquant ainsi le trou noir.

Le capitaine inspira puis souffla l'air qu'il venait d'inspirer puis il commença à parler avec une voix calme mais ferme

- Tu as eu une vision n'est-ce pas ? Tu as vu quelque chose de mauvais....

Osymandias soupira et repris une bouffée d'air

- Tu sais, je ne crois pas à ces visions qui t'annonce l'avenir et tout ça... pour moi, mon avenir n'est pas écris et c'est moi qui le crée à chaque action que je fais. Je suis maitre de mon futur et ce n'est pas une putin de ligne que je suis bêtement sans aucun pouvoir dessus. Je ne suis pas une marionnette...

Il y a longtemps,quand j'étais jeune, une voyante m'a prédit que je périrais à cause d'une Araignée. Pendant plusieurs années je fus terrorisé par cet animal mais un jour la voyante a été arrêté pour mensonges, charlatanismes, etc... . J'ai compris qu'elle m'avait juste embobiné et que j'avais cru à un mensonge.

Osymandias se leva et ouvrit ses bras

- Vient là et raconte moi ton rêve, ça te fera du bien d'en parler.

La Mandalorienne ne quitta pas le trou noir jusqu'à ce que celui-ci ne soit plus à porté de vue. Elle baissa les yeux sur le sol métallique, les fermant un instant.

Lorsqu'elle les rouvrît, la guerrière plaqua son dos sur la vitre encore froide. Puis elle redressa son regard vers Osymandias. Essayant de parler, balbutiant des mots sans cohérences, la Mandalorienne le fixait avec un regard à vous glacer le sang.

- Elle est celle qui va nous mener à notre fin à tous. La meneuse mourrante connaîtra la vérité... Souffla-t-elle

Reyx'Rack plaça ses mains au niveau de ses yeux. Mais elle ne pleurait pas... Simplement le besoin de se sortir le trou noir de ses yeux. Sa respiration s'accéléra, à la mesure d'une musique effroyable. On pouvait voir le blanc rayonnant de ses yeux entre des doigts, tantôt allongés, tantôt crispés.

Sa main glissa au niveau de sa poitrine, ce n'était pas le cœur qu'elle eut connue depuis ces trente années sinon les ruines et vestiges d'un organe rafistolé par quelques mécanismes... Sentant ses implants métalliques frapper sa poitrine... Elle réfléchissait à ce qu'elle venait de dire. Rien que de penser à chaque mots de cette phrase, Reyx frémissait de peur.

Osymandias s'approcha tranquillement de Reyx'Rack et l'entoura de ses bras et lui souffla

- Là...là...c'est fini...calme toi...

Mais la guerrière ne se calmait pas. Le capitaine alla vers la porte et la déverouilla ensuite il demande à son timonier de changer de cap et de les éloigner du trou noir. Enfin Osymandias prit la main de la mandalorienne et l'emmena avec lui dans le couloir. Ils marchèrent lentement jusqu'à un ascenseur. Ils entrèrent à l'intérieur et il appuya sur le bouton qui correspondait au pont numéro 5.

L'ascenseur descendit puis s'immobilisa devant une porte, Osymandias mit son oeil devant un scanner. Une fois l'examen passé, la porte se déverrouilla et il ouvrit la porte et attira Reyx'Rack à lui. La pièce où ils se trouvaient étaient petite, elle était vide et n'avait qu'une porte de l'autre côté comme si il s'agissait d'un sas.

Le capitaine avança jusqu'à la seconde porte. On devait composé un code pour ouvrir celle-ci et Osymandias pianota quelque chose sur le clavier. Une fois qu'il eut fini, un bruit sourd se fit entendre pendant quelques secondes puis cela cessa. Le capitaine serra la guerrière contre lui puis il ouvrit la porte. A peine l'ouvrit-il qu'une lumière éblouissante en surgit ce qui eu pour effet de les aveuglés pendant quelques instants mais malgré tout Osymandias avança et fit avancer la mandalorienne à son tour

Une fois la cécité passé et leurs yeux habitutés, Reyx'Rack put contempler ce qu'il se trouvait derrière la porte.



Ils se trouvaient désormais dans une immense clairière. De grands arbres les entouraient, des oiseaux chantés et le soleil était présent. Au loin le bruit d'une cascade et d'un ruisseau se faisait entendre. Il y avait de l'herbe sous leurs pieds. Au centre de la clairière se tenait une grande structure en verre. En s'approchant on pouvait remarquer qu'il y avait un grand lit, une salle de bain et une salle à manger à l'intérieur. Proche de la structure, il y avait ce qui ressemblait à un potager et à côté un verger où se trouvait de nombreux arbres fruitiers.

Enfin tout au fond proche de la lisière de la clairière, on pouvait apercevoir un gisant sculpté en pierre.

Osymandias se tourna vers Reyx'Rack

- Bienvenue dans mon jardin secret.

La Mandalorienne était ébahie, ses yeux encore écarquillés, apeurés se posèrent dans un premier temps sur les arbres. Il ne fallait pas être un spécialiste en herboristerie pour savoir que ces arbres étaient bel et bien réel...Visiblement aucun trucage les concernant. Il y en avait des centaines ! Reyx'Rack pensant tout à bord à une illusion d'optique pour ce qui était de leur multitude, mais elle décida de ne pas essayer de déceler la supercherie.

Son regard glissa vers Osymandias qui observait lui aussi ce domaine, puis elle contempla le soleil...Un soleil factice, même si elle sentait de la chaleur se déposer sur les pores de sa peau, il n'était pas réel. C'était impossible. Reyx'Rack posa doucement la main sur sa joue et les sentit se réchauffer légèrement. Comment pouvait-il disposer d'une forêt dans son vaisseau? Comment parvenait-il à le cacher à tous? Même si le vaisseau était immense, les membres de l'équipage ne se sont jamais demandé pourquoi il y avait certaines zones obscures sur les plans?

La Guerrière était pied nue et n'avait pas remarquée l'herbe à ses pieds, un légèrement sourire ainsi que certaines expirations de joie s'échappèrent de sa bouche. Comme une enfant complètement désorientée lancée dans un monde merveilleux. De l'herbe, elle pouvait sentir son odeur, chaque friction dû à ses pas...Cela faisait bien des années qu'elle n'avait pas éprouvée une telle sensation, de la sérénité...Enfin...

Sans lâcher la main d'Osymandias, Reyx' se pencha pour toucher cette herbe verdoyante, frôlant la douceur. Lorsqu'elle se releva, la femme trentenaire se détacha de l'emprise du Capitaine et marcha doucement vers quelque chose qu'elle voyait au loin. Pas vers la structure de verre, non. Vers quelque chose d'autre qui percuta son attention lorsqu'elle eût touché l'herbe. Un peu plus loin, une sculpture de pierre, un gisant, entouré par des arbres assez vieux, accentuant la solennité du lieu. Sans pour autant le toucher, elle souffla:

- Qui c'est?

Osymandias s'approcha à son tour et posa une main sur le gisant

- C'est Eldonael, je n'ai jamais retrouvé son corps mais cet endroit était autrefois notre endroit et c'est là qu'elle aurait aimé être enterrée. Bien sur tout ça c'est symbolique....

Osymandias repris Reyx par la main et l'emmena se promener dans le verger

- Je dois t'avouer quelque chose... . Nous ne sommes plus sur l'Indépendance. Bienvenue sur Garvoss ! Une petite planète d'un système éloignée, inconnue des bases de données de la République et de l'Empire. Le coin parfait pour se cacher en toute tranquillité. Tu dois te dire que c'est impossible mais je vais t'expliquer....

Osymandias s’arrêta devant un arbre à fruit, en cueillit deux et en tendit un à Reyx'Rack

- L'Indépendance n'a pas été crée dans des chantiers spatiaux tout ça. Il est de facture alien. La race qui la construite n'existe plus désormais. La deuxième porte que nous avons passé est un téléportail. Il crée un lien entre un portail et un autre situé autre part dans la galaxie. La porte de mon vaisseau est relié qu'à cette planète. Tout à l'heure avant d'ouvrir la seconde porte, j'ai tapé les coordonnées de ce portail mais il y en a au moins trois autres sur cette planète. C'est comme cela que nous avons découvert cette planète.

Reyx'Rack n'avait pas quittée de vue le gisant, Eldonael. En écoutant les explications d'Osymandias, elle ne pu s'empêcher de poser à nouveau son regard sur le Soleil. C'était étrange, elle avait pourtant la sensation que celui-ci était faux alors qu'en fait, il serait réel...Bien des races peuplaient la galaxie, et il restait encore tant de civilisations à découvrir ou re-découvrir.

D'un pas lent, silencieux, elle s'écarta. Sondant les recoins de cet univers qui n'était pas simplement une pièce bardée de technologie..Non...C'était la nature à l'état pur. A l'état sauvage, tantôt dominée par les êtres vivants que sont les humanoïdes, tantôt imposant ses droits par ces immenses arbres et par cette abondante végétation.

Son regard glissa vers le Soleil puis vers la cime des arbres. Sentant le vent se briser contre son épiderme, la Mandalorienne n'en croyait pas ses yeux.

- Un téléportail...souffla-t-elle.

Reyx'Rack était consciente que certaines technologies alien dépassaient tout le monde, et de très très loin d'ailleurs. Il suffisait simplement de s'interroger sur les Rackata, ils auraient, selon les données Impériales, établis un système de téléportation...C'était ahurissant. La guerrière ne comprenait pas beaucoup de chose à la science, mais elle avait assez vécue dans ce monde pour admettre que pas mal de choses sont possible.

- Pourquoi ne vis-tu tout simplement pas ici? Tu assez d'hommes et de matériel pour établir une civilisation ici, loin de cette guerre qui épuise bien des gens...

Fixant l'homme droit dans les yeux, elle restait droite, bras croisés. Ses sourcils légèrement inclinés vers le centre montraient son incompréhension totale vis à vis de certains agissements du Capitaine.

La question troubla le capitaine. Non pas parce qu'il ne s'était jamais posé la question mais parce qu'il connaissait déjà la réponse et ce depuis trop longtemps. Le visage d'Osymandias devint plus sombre, sa voix moins sure et plus basse.

- C'est vrai, tu as raisons, je pourrais vivre ici avec mon équipage mais je me sentirais si seul.....
Depuis la mort d'Eldonael, je n'ai jamais trouvé quelqu'un qui aurait put la remplacer dans mon coeur jusqu'à ce jour. Seul la joie et le bonheur de diriger mon vaisseau me faisait me lever le matin. Je ne compte même plus le nombre de jour où j'étais en pleine dépression jusqu'à ce que je te rencontre.

La main d'Osymandias effleura doucement le visage de la mandalorienne

- Voilà pourquoi je n'habites pas ici car jusqu'à maintenant même entourée d'ami(e)s, il y avait ce gouffre, ce vide qui entrainait ce sentiment de solitude. Parfois je recherchais même la mort, c'est pour cela d'ailleurs que je me suis engagé avec Maksidias...

Un sourire rayonna sur le visage d'Osymandias

- Mais maintenant tu es là....et j'en suis heureux car je t'aime.

Il prit la guerrière dans ses bras et il l'embrassa avec une tendresse infinie

Elle se laissait faire, puis elle entoura ses bras autour de la taille d'Osymandias. Après tout, c'était le calme plat. "Comment peut-on passer du bruit omniprésent d'un vaisseau au silence absolu?" Se demanda-t-elle. Hormis les oiseaux qui susurraient quelques chants, on entendait rien, c'était le calme dans toute sa splandeur.

Puis, soudainement, la Mandalorienne se dégagea d'un petit mouvement d'épaule.

- Je... Je vais devoir partir pour Kuat d'ici quelques heures. Plus tôt je partirai et plus tôt nous seront prêt.

La guerrière n'était pas insensible aux dires d'Osymandias, mais ça faisait très longtemps qu'elle n'avait pas entendue ce type de discours. D'un côté, elle serait à plaindre de ne pas accepter ce genres d'avances, mais les circonstances actuelles le lui en empêchaient. À tâtons dans le vide elle cherchait ce qui pouvait ressembler à ce téléportail.

Osymandias fut amusé par les gestes de la guerrière qui recherchait le téléportail. Tandis qu'il l'a laissé chercher. Il alla vers un petit bosquet de roses blanches. Il coupa une tige mais il se blessa l'un de ses doigts sur les épines de la fleur. Quelques gouttes de sang coulèrent sur les pétales de roses.

Il revient ensuite vers Reyx'Rack. Il l'interrompit pendant sa recherche et lui tendit la rose puis il prit sa main et il l'emmena vers la petite maison de verre. Au moment où Osymandias passa la porte, un vieux gramophone se mit en marche faisant naitre une musique en fond sonore.



Osymandias s'assit à un bureau. Une console se trouvait devant lui. Il pianota une ligne de commande et dit à sa compagne

- Regarde, pour ouvrir le portail, il faut entrer les coordonnées du portail de départ, tu met un point-virgule et tu entres les coordonnées du portail d'arrivé.

Osymandias fit la manipulation devant les yeux de la jeune femme et une porte apparue dans le verger, entre deux arbres.

- Cette porte est relié à l'Indépendance, j'ai hâte de prendre une bonne douche et de prendre les commandes de mon vaisseau. Pendant que tu prépareras ton attaques de Kuat, je me rendrais sur Coreillia à la recherche du second lieutenant d'Anwen.

Après quelques heures...


...Reyx'Rack se tenait droite devant le sas, Osymandias et le Quartier-Maître se trouvaient derrière elle. Ils voulaient lui dire au revoir de la façon la plus respectable possible.


- La Navette de votre vaisseau nous a envoyé un message, elle devrait être sur le point d'arriver Capitaine Silix. Dit le Zabrak d'un ton neutre.

Esquissant un léger sourire et après avoir fait un signe de tête à l'alien, son regard se glissa jusqu'au hublot qui séparait le hangar de l'Indépendance et le couloir d'accès. Au même instant, le bout de la navette passa le bouclier énergétique bloquant l'oxygène présent dans le hangar, les faibles stridulations électriques violette attirèrent les yeux de Reyx'Rack. Celle-ci se retourna vers Osyamandias et appuya son dos contre la lourde porte en métal.

- Jate, je vais devoir partir du coup. Je ne sais pas si tu seras là durant l'assaut de Kuat mais, ne cherche pas à te mettre Thalyne à dos ad'ike. Souffla-t-elle en le tirant par la veste.

Reyx'Rack Silix avait récupéré son long manteau en cuir à col imposant, le chapeau dans la main droite, elle se hissa légèrement pour déposer un petit baiser sur les lèvre du Capitaine de l'Indépendance. Lorsqu'elle redescendit, elle mordilla délicatement sa propre lèvre inférieur, les yeux rivés sur le torse du Capitaine. A la vue de l'équipement léger de l'homme, sa pensée alla vers son armure qu'elle n'avait pas revêtue depuis plusieurs jours maintenant. Ce n'était pas un deshonneur pour un Mandalorien de ne pas porter son armure, mais...Cette habitude de placer chaque section de beskar le matin comme les retirer le soir lui avait beaucoup manqué.

D'un air neutre, avec un soupçon d'inquiétude, sa main actionna la porte du Hangar qui s'ouvrit dans un tonnerre métallique. La femme tourna les talons et pénétra dans le hangar, scrutant la visière de la navette. Manifestement, il n'y avait personne à bord, l'Interface avait dû programmer la Navette YT pour qu'elle vienne simplement se poser pour récupérer le Capitaine Mandalorien.

Elle posa un pied sur la rampe d'accès puis passa son regard au dessus de l'épaule:

- Vor'e pour ton accueil, si tu as besoin de moi pour quoique ce soit, tu n'hésites pas. Mais...Après l'opération de Kuat. J'espère revenir en un seul morceau, d'ici là, puisse ton arme ne jamais s'enrayer cyar'ika.

Gravissant la rampe en duracier blindé, la Mandalorienne disparu dans la pénombre du vaisseau quelques secondes avant que la rampe se ferma.
A peine cinq minutes plus tard, depuis le cockpit, Reyx' assigna un signe de tête à Osymandias et au Quartier Maître avant de faire décoller l'appareil qui rejoindra le Vagabond dans quelques heures.